UNE PROMENADE DIGESTIVE
Arthur Delhaye et Diego Wery
18→27.03.22
Les œuvres exposées traiteront de vie paisible et de loisir, de meubles de jardins, d’ingestion et/ou de régurgitation de cette vie ; entre malaise et nostalgie.
Diego Wery (1993) a étudié la peinture à La Cambre et est représenté par la galerie Valeria Cetraro à Paris. Arthur Delhaye (1994) a étudié le dessin à La Cambre. Figurative, la peinture de Diego Wery est construite d’un mélange d’aplats de couleurs et de moments plus dessinés. Prenant source tant dans l’art classique que dans la culture populaire la plus actuelle, il cherche à aller au-delà des symboles ou du symbolique en interrogeant les normes sociales, les relations intimes et les identités. Ses tableaux sont peuplés de personnages et d'êtres souvent solitaires qui semblent incarner certains stéréotypes de la condition humaine, se retrouvant plongés dans une relation où chacun n'est plus ce qu'il était. Naissent alors des mondes mélancoliques, entre douceur et férocité.
Dessinateur de formation, Arthur Delhaye développe ces dernières années une pratique de la sculpture. Dans son travail, il ne peut s’empêcher de ramener l’humain à ses considérations les plus primaires, le mettre à nu pour dépoussiérer ce qu’on ne voyait plus. Il nous rapporte au transit, à l’ingestion, à nos paysages internes et à la nourriture qui rythme la journée de l’animalité toute entière. Les sculptures sont d’ailleurs traversées de part en part ou percées de trous, creuses. Il y a cette envie de suggérer l’intérieur et son flux. L’extérieur, lui, est toujours en (dé)formation, se révèle comme inachevé ou incomplet, à la recherche d’une forme. Pour cette exposition à la Fondation du Carrefour des arts, les deux artistes évoquent une «promenade digestive», dans l’ambiance d’un dimanche après-midi estival dans la campagne wallone, où ils ont grandi.
Infos
18 - 27 mars
Vernissage le vendredi 18 mars de 18 à 21h. Accès libre
[Text non available in English] Les œuvres exposées traiteront de vie paisible et de loisir, de meubles de jardins, d’ingestion et/ou de régurgitation de cette vie ; entre malaise et nostalgie.
Diego Wery (1993) a étudié la peinture à La Cambre et est représenté par la galerie Valeria Cetraro à Paris. Arthur Delhaye (1994) a étudié le dessin à La Cambre.
Figurative, la peinture de Diego Wery est construite d’un mélange d’aplats de couleurs et de moments plus dessinés. Prenant source tant dans l’art classique que dans la culture populaire la plus actuelle, il cherche à aller au-delà des symboles ou du symbolique en interrogeant les normes sociales, les relations intimes et les identités. Ses tableaux sont peuplés de personnages et d'êtres souvent solitaires qui semblent incarner certains stéréotypes de la condition humaine, se retrouvant plongés dans une relation où chacun n'est plus ce qu'il était. Naissent alors des mondes mélancoliques, entre douceur et férocité.
Dessinateur de formation, Arthur Delhaye développe ces dernières années une pratique de la sculpture. Dans son travail, il ne peut s’empêcher de ramener l’humain à ses considérations les plus primaires, le mettre à nu pour dépoussiérer ce qu’on ne voyait plus. Il nous rapporte au transit, à l’ingestion, à nos paysages internes et à la nourriture qui rythme la journée de l’animalité toute entière. Les sculptures sont d’ailleurs traversées de part en part ou percées de trous, creuses. Il y a cette envie de suggérer l’intérieur et son flux. L’extérieur, lui, est toujours en (dé)formation, se révèle comme inachevé ou incomplet, à la recherche d’une forme. Pour cette exposition à la Fondation du Carrefour des arts, les deux artistes évoquent une «promenade digestive», dans l’ambiance d’un dimanche après-midi estival dans la campagne wallone, où ils ont grandi.
Infos
18 - 27 mars
Vernissage le vendredi 18 mars de 18 à 21h. Accès libre
[Tekst niet beschikbaar in het Nederlands] Les œuvres exposées traiteront de vie paisible et de loisir, de meubles de jardins, d’ingestion et/ou de régurgitation de cette vie ; entre malaise et nostalgie.
Diego Wery (1993) a étudié la peinture à La Cambre et est représenté par la galerie Valeria Cetraro à Paris. Arthur Delhaye (1994) a étudié le dessin à La Cambre.
Figurative, la peinture de Diego Wery est construite d’un mélange d’aplats de couleurs et de moments plus dessinés. Prenant source tant dans l’art classique que dans la culture populaire la plus actuelle, il cherche à aller au-delà des symboles ou du symbolique en interrogeant les normes sociales, les relations intimes et les identités. Ses tableaux sont peuplés de personnages et d'êtres souvent solitaires qui semblent incarner certains stéréotypes de la condition humaine, se retrouvant plongés dans une relation où chacun n'est plus ce qu'il était. Naissent alors des mondes mélancoliques, entre douceur et férocité.
Dessinateur de formation, Arthur Delhaye développe ces dernières années une pratique de la sculpture. Dans son travail, il ne peut s’empêcher de ramener l’humain à ses considérations les plus primaires, le mettre à nu pour dépoussiérer ce qu’on ne voyait plus. Il nous rapporte au transit, à l’ingestion, à nos paysages internes et à la nourriture qui rythme la journée de l’animalité toute entière. Les sculptures sont d’ailleurs traversées de part en part ou percées de trous, creuses. Il y a cette envie de suggérer l’intérieur et son flux. L’extérieur, lui, est toujours en (dé)formation, se révèle comme inachevé ou incomplet, à la recherche d’une forme. Pour cette exposition à la Fondation du Carrefour des arts, les deux artistes évoquent une «promenade digestive», dans l’ambiance d’un dimanche après-midi estival dans la campagne wallone, où ils ont grandi.
Infos
18 - 27 mars
Vernissage le vendredi 18 mars de 18 à 21h. Accès libre